Sol ou foncier, quel projet de territoire à l’heure de la sobriété ? La question était ouverte au débat public l’autre soir, dans un amphithéâtre du campus Artem. La réflexion s’inscrit dans une vision prospective du territoire en 2040.
« Nous travaillons avec nos collectivités sur ce sujet depuis déjà quelques années. Les contraintes environnementales liées à la transition écologique et l’évolution des textes législatifs obligent à transformer notre rapport au foncier et aux sols dans les projets d’urbanisme et d’aménagement », pose en préambule Denis Vallance, président de la Multipole Sud Lorraine. De fait, la loi climat et résilience d’août 2021 impose le principe de zéro artificialisation nette à l’horizon 2050.
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